| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://sunnia.vip-blog.com


islam selon Mohamed saaws
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

islam selon Mohamed saaws

VIP-Blog de sunnia
  • 14 articles publiés dans cette catégorie
  • 73 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 29/05/2013 12:08
    Modifié : 21/09/2016 19:04

    Fille (55 ans)
    Origine : constantine
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Novembre  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    272829300102
    03040506070809
    10111213141516
    17181920212223
    24252627282930
    [ santé et medecine ] [ Allah aaza wa jal ] [ fatawas des savants ] [ le coran ] [ l'invisible (djinn) ] [ ahadiths mouaataras ] [ les sectes ] [ le wahabisme ] [ les femmes pieuses ] [ les compagnons ] [ comprendre l'islam ] [ jesus (as) ]

    Que signifie le Hadîth : "Ce Coran a été descendu avec 7 harf" ? - Les variantes de récitations dans le texte coranique

    26/12/2013 19:37



    La récitation du Coran peut être faite selon de légères variantes (al-qirâ'ât ou al-ahruf), liées à la lexicologie, à la morphologie, à la syntaxe, etc., qui n'influent en rien sur le sens global du texte.

     

    Pour un certain nombre d'orientalistes, l'existence de ces variantes dans la récitation du Coran sont la preuve de l'imprécision des copies diffusées par le calife Uthmân (644-656). "C'est bien, disent-ils, parce que le texte arabe de ces copies ne contenait pas de signes diacritiques (points qui différencient entre elles certaines lettres possédant la même forme) ni de voyelles courtes que ces variantes de lecture sont apparues."

    Le problème c'est que si le constat de l'existence de variantes de récitation est vrai, l'explication qui en est avancée par ces orientalistes est erronée. En effet, si c'était le simple fait de pouvoir "deviner" le mot qu'on voulait à partir des copies coraniques qui était à l'origine des variantes de récitation, comment expliquer que d'innombrables fois, un mot écrit avec la même graphie ne connaisse pas les mêmes variantes ? Ainsi, le mot écrit "mlk" figure dans la sourate al-Fâtiha et aussi dans la sourate an-Nâs : pourtant, les variantes "mâlik" et aussi "malik" existent à propos de la sourate al-Fâtiha (première sourate dans l'ordre des copies coraniques), alors qu'en ce qui concerne la sourate an-Nâs (dernière sourate dans l'ordre des copies coraniques), la seule récitation possible est "malik". Si c'était l'imprécision des copies qui est à l'origine des variantes de récitation, pourquoi, pour un mot écrit exactement de la même manière ("mlk"), lit-on "malik" et mâlik" dans la sourate al-Fâtiha, mais seulement "malik" et pas "mâlik" dans la sourate an-Nâs ? Très nombreux sont les exemples de ce genre.

    En fait c'est le Prophète lui-même qui avait, de son vivant, enseigné à différents Compagnons différentes variantes de récitation du Coran.

    Omar ibn ul-Khattâb raconte ainsi : "Un jour, lors du vivant du Prophète, j'entendis Hishâm ibn Hakîm réciter la sourate al-Furqân. Alors que j'écoutais attentivement sa récitation, je m'aperçus qu'il la faisait avec certaines lettres autres que celles que le Prophète m'avait enseignées. J'étais sur le point de l'interpeller pendant sa prière même, mais je me retins et attendis qu'il la termine. Je le pris alors par son vêtement et lui dis : "Qui donc t'a enseigné ainsi la sourate que je t'ai entendu réciter ? - C'est le Prophète, me répondit-il. - Tu mens, lui répliquai-je, car il me l'a enseignée avec des lettres différentes que certaines de celles dont que tu viens de réciter." Je l'emmenai alors auprès du Prophète et exposai à celui-ci le problème : "J'ai entendu cet homme réciter la sourate al-Furqân et y réciter certaines lettres autres que celles que tu m'as enseignées. - Lâche-le" me dit le Prophète. Puis, se tournant vers Hishâm, il lui dit : "Récite, Hishâm." Hishâm récita alors la sourate de la même manière qu'il l'avait fait auparavant. Le Prophète dit alors : "Ainsi cette sourate est elle descendue." Puis il me dit : "Récite, toi, Umar." Je le fis alors selon la façon que lui-même m'avait enseignée. Il dit également : "Ainsi cette sourate est elle descendue." Puis il dit : "Ce Coran a été descendu avec sept harf. Récitez donc celle qui est facile pour vous" (Rapporté par al-Bukhârî, n° 4706).

    Ubayy ibn Ka'b et Abdullâb ibn Mas'ûd racontent, chacun de leur côté, deux autres expériences similaires : chacun a été surpris d'entendre une tierce personne faire la récitation du Coran avec certaines lettres différentes de celles qu'ils avaient apprises du Prophète. Chacun s'est rendu auprès du Prophète qui a donné à chaque fois la même explication : le Coran peut être récité avec des variantes minimes. (Récits rapportés respectivement par Muslim, n° 820, et par al-Bukhârî, n° 3289, n° 4775.)

    Ces expériences vécues par trois Compagnons du Prophète du vivant même de ce dernier suffisent à battre en brèche l'hypothèse des orientalistes citée plus haut : les variantes de récitation du texte coranique ne sont pas dues à des imprécisions dans les copies coraniques mais ont été enseignées par le Prophète en personne à ses Compagnons.

    -
    Pourquoi le Prophète a-t-il enseigné ces variantes de récitation ?

    Le texte coranique, au début de sa révélation, était enseigné par le Prophète et récité sans variantes (rapporté al-Bukharî, n° 4705, n° 819).

    Mais quand des personnes de diverses régions commencèrent à se convertir à l'islam (Fat'h ul-bârî, tome 9 p. 36), le Prophète lui-même demanda à l'ange Gabriel de transmettre à Dieu sa requête : que soient rendues possibles des variantes de récitation du texte coranique ; après une première réponse favorable, il y eut une autre demande, puis une autre réponse favorable, puis une nouvelle demande ; au bout d'un certain nombre de fois, la possibilité de 7 "harf" fut accordée (rapporté par Muslim, n° 820). Cela se passa durant la période médinoise de la vie du Prophète, comme le montre la relation qui précise que le Prophète se trouvait alors auprès de "adhâti Banî Ghifâr" (rapporté par Muslim, n° 821) (Fat'h ul-bârî, tome 9 p. 36).

    Par ces demandes, le Prophète voulait que tous les Arabes puissent réciter facilement le Coran. Car il faut savoir qu'à l'époque du Prophète, différents dialectes de la langue arabe existaient en Arabie. Alors que les Arabes du Hedjaz avaient recours à l'élision de la lettre hamza, ceux d'Arabie orientale la prononçaient fortement ; "sal", disaient les premiers, "is'al", les seconds. Des différences de prononciations existaient entre différentes régions : ici "kuffèr", là "kuffâr" ; ici "hudè", là "hudâ" ; ici "SirâT", là "zirâT" ; ici "Salât", là "SaLât" (avec le lâm emphatique). Des mots comme "tarîq" et "sûq" étaient féminins dans le Hedjaz, masculins en Arabie orientale.

    Or le Prophète pensait surtout à ceux qui étaient illettrés, très vieux ou très jeunes (ce sont les personnes qu'il a mentionnées dans le hadîth qu'a rapporté at-Tirmidhî, n° 2944) ; pour ces catégories de personnes, il est effectivement très difficile de se défaire d'une habitude de prononciation ou d'un accent particulier, et de prononcer certains termes (sur le plan morphologique, ou bien sur le plan de l'accent) selon les particularités de dialectes autres que le leur. C'est pourquoi il est rapporté que, adressant l'une de ses requêtes à Dieu (par l'intermédiaire de l'ange Gabriel), le Prophète prononça ces mots : "Facilite (les choses) pour ma Umma" ("Hawwin 'alâ ummatî") (Muslim, n° 820) ; "Je demande à Dieu Son Pardon, ma Umma n'a pas la capacité de cela [= de pouvoir se contenter d'une, de deux ou de trois harf]" ("Inna ummatî lâ tutîqu dhâlik") (Muslim, n° 821).

    -
    Que désignent les termes "sept harf" dans le Hadîth "Ce Coran a été descendu avec sept harf" ?

    Les variantes de récitation portent le nom de "qirâ'ât" (comme les a nommée Ubayy devant le Prophète : Muslim, n° 820). Et cette multiplicité des récitations est due à la permission des sept "harf" (pluriel : ahruf) (comme les a nommées le Prophète dans les hadîths, notamment celui-là même qu'a rapporté Muslim, n° 820, où il a justifié devant Ubayy l'existence de ces variantes de récitation par le fait que le Coran peut être récité selon sept harf). C'est donc le fait que le Coran a été révélé selon sept "harf" qui entraîne qu'il y existe des variantes de récitation ("qirâ'ât"). Les harf sont donc les catégories auxquelles différentes qirâ'ât peuvent être reliées.

    Quand le Prophète a dit : "Ce Coran a été descendu avec sept harf. Récitez donc celle qui est facile pour vous", il ne voulait nullement dire que chaque mot ou chaque phrase du Coran pourrait être récitée selon sept variantes différentes (Fath ul-bârî, tome 9 p. 36). Ce que le Prophète a voulu dire, c'est que le total des catégories des variantes existant dans la totalité du texte coranique s'élève à sept.

    -
    Et quelles sont ces 7 catégories de variantes ?

    Il y a de nombreux avis sur le sujet. Nous nous contenterons d'en citer ici deux...

    Un premier avis :

    D'après Ibn Jarîr at-Tabarî, il s'agit de sept dialectes arabes de l'époque.

    A cet avis on objecte de façon pertinente que Omar ibn ul-Khattâb et Hishâm ibn Hakîm étaient tous deux qurayshites, et pourtant le récit (cité plus haut) montre que le Prophète leur avait enseigné la sourate al-Furqân avec des variantes.

    Un second avis :

    D'après Ibn Qutayba et Abu-l-Fadhl ar-Râzî, il s'agit de sept catégories de variantes de récitation (cf. Al-Itqân, p. 147, Fath ul-bârî, tome 9 p. 37). Quel est le détail de ces sept catégories, il y a ensuite divergence entre ces ulémas...

    D'après Abu-l-Fadhl ar-Râzî, il s'agit des catégories suivantes :
    1) variantes d'accents (ikhtilâf ul-lahajât) : par exemple "nâs" / "nès" ; "yûmin" / "yu'min""salaka-kum" / "salak'kum" ;
    2) variantes dans le genre d'un nom (ikhtilâf ul-asmâ') : c'est-à-dire féminin / masculin ;
    3) variantes de termes (al-ibdâl) : comme "al-'ihn" / "as-Sûf" (la seconde variante étant rapportée de Ibn Mas'ûd) ; ou comme "wa tal'hin" / "wa tal'in" (la seconde variante étant relatée par Alî : Fat'h ul-bârî tome 9 p. 37).
    Ces 3 catégories des variantes sont liées aux différences dialectales existant alors entre différentes régions d'Arabie...

    Les 4 catégories qui vont suivre sont quant à elles dues non plus aux seules différences dialectales mais à une multiplicité – due à la souplesse de la révélation coranique – de récitations, révélées ainsi au Prophète et transmise par ce dernier à ses Compagnons :
    4) variantes liées aux cas syntaxiques (ikhtilâfu wujûh il-a'râb) : comme "al-'ayna" / "al-'aynu" ;
    5) variantes de temps de conjugaison des verbes (ikhtilâfu tas'rîf il-af'âl) : "bâ'id" / "ba'ada" ;
    6) variantes liées à une inversion de mots (ikhtilâf ut-taqdîm wa-t-ta'khîr) : comme "wa jâ'at sak'rat ul-mawti bi-l-haqqi" / "wa jâ'at sak'rat ul-haqqi bi-l-mawti", cette seconde variante étant celle relatée par Abû Bakr (Fath ul-bârî, tome 9 p. 37) ;
    7) variantes liées à la majoration ou à la diminution d'un ou deux mots (ikhtilâf un-naqs wa-z-ziyâda) : comme "wa mâ khalaqa-dh-dhakara wa-l-unthâ" / "wa-dh-dhakari wa-l-unthâ" (la seconde variante étant rapportée du Prophète par Abu-d-Dardâ' ; Ibn Mas'ûd aussi récitait de la sorte).

    -
    Si on retient cette interprétation des "7 harf", elle implique que, dans le premier temps, il n'y avait aucune harf à propos de la partie du texte coranique déjà révélée, puisque aucune variante n'y était possible.

    C'est ce que, plus tard, Omar puis Uthmân exprimeront par cette phrase : "Le Coran a été descendu selon le dialecte ("lughat") des Quraysh" : ils voudront dire : "A l'origine, le Coran n'était récité que selon la prononciation qurayshite, car il n'y avait même pas la possibilité des variantes dues aux accents dialectaux"...  Et c'est pourquoi Omar comme 'Uthmân préféreront, pour les Qurashites, qu'ils récitent selon le dialecte des Quraysh. C'est ainsi que se comprend l'explication de as-Samarqandî à propos des cas où il existe deux qirâ'ât, deux variantes ; as-Suyûtî écrit :
    "حكى أبو الليث السمرقندي في كتاب البستان قولين: أحدهما أن الله قال بهما جميعا؛ والثاني أن الله قال بقراءة واحدة، إلا أنه أذن أن نقرأ بقراءتين.
    ثم اختار توسطا وهو أنه إن كان لكل قراءة تفسير يغاير الآخر فقد قال بهما جميعا وتصير القراءتان بمنزلة آيتين، مثل: "حتى يطهرن". وإن كان تفسيرهما واحدا كـ"البيوت" و "البيوت" فإنما قال بإحداهما، وأجاز القراءة بهما لكل قبيلة على ما تعود لسانهم. قال: فإن قيل: إذا قلتم إنه قال بإحداهما فأي القراءتين هي؟ قلنا: التي بلغة قريش انتهى"
    (Al-Itqân, p. 254).

    En tous cas, le terme "harf" désignant une "catégorie de variante de récitation", lorsque l'ange Gabriel dit au Prophète : "Dieu t'ordonne que ta Umma récite le Coran selon une harf / Récite-le selon une harf" (""Innallâha ya'muruka an taqra'a ummatuka-l-qur'âna 'alâ harf" / "Iqra'hu 'alâ harf"), cela se passa après la première demande que le Prophète adressa à Dieu à ce sujet, et l'Ange apportait alors la première réponse de Dieu : une catégorie de variantes était accordée. Puis, suite à la 2nde demande du Prophète disant "Je demande à Dieu Son Pardon, ma Umma n'a pas la capacité de cela", 2 harf furent accordées. Ensuite, suite à la 3ème demande, 3 harf le furent. Enfin, suite à la 4ème demande et par le biais d'une 4ème réponse, il y eut 7 harf (car c'est bien à la 4ème réponse que 7 harf furent accordés : Shar'h Muslim 6/102, Fat'h ul-bârî 9/32)...

    Etaye cela ce que an-Nassâ'ï a rapporté et où on lit que quand l'ange Gabriel dit au Prophète : "Récite le Coran selon une harf" ("Iqra' il-qur'âna 'alâ harf"), l'ange Michel dit alors : "Demande-lui davantage" ("Istazid'hu") (Sunan un-Nassâ'ï, Fat'h ul-bârî 9/31) (d'après le commentaire de as-Sindî, c'est au Prophète que l'ange Michel dit cela : Michel voulait lui dire : "Demande à Gabriel de demander davantage à Dieu") ; quand Gabriel lui dit de réciter selon une harf, le Prophète avait donc déjà fait la première demande, et il s'agissait donc de la première réponse de Dieu...

    Au début, il n'y avait donc aucune harf, donc aucune variante de récitation possible dans le texte coranique jusqu'alors révélé. Puis, suite à la demande du Prophète, Dieu accorda l'autorisation d'une harf, c'est-à-dire d'une catégorie de variantes. Suite à l'insistance du Prophète, 2 harf furent accordées, puis 3, enfin 7 harf furent accordées.

    -
    En tous cas, chaque fois qu'un Compagnon lui faisait part de son étonnement devant le fait qu'il avait entendu un autre réciter la même sourate que lui avec les mêmes phrases mais avec de légères variantes quant à certaines lettres, le Prophète lui expliquait que le texte coranique a été révélé avec cette souplesse de récitation : "Cette sourate a été révélée ainsi et ainsi", disait-il, ou bien : "Tous les deux vous avez fait une récitation correcte" (voir les Hadîths cités dans Fat'h ul-bârî, tome 9 p. 34).

    Cependant, il était systématiquement nécessaire que ce soit le Prophète lui-même qui ait enseigné ces variantes. (Peut-être que pour certaines catégorie de variantes infimes, telles que les différentes prononciations liées aux différences d'accents régionaux, et chose semblable, la permission générale suscitée "Récitez celle qui est facile par vous" était suffisante, et donc que toutes les variantes relatées à ce sujet n'ont pas été enseignées par lui de façon détaillée. Peut-être encore que, pour les variantes n'engageant pas la forme même du terme, il suffit qu'elles aient été récitées ainsi par un Compagnon ou un de ses illustres élèves. Nous avons exposé ces deux possibilités dans un autre article.)

    Enfin, il convient de souligner, comme vous l'avez remarqué, que ces variantes de récitation sont mineures et n'affectent en rien le propos du texte.

    -
    Conclusion :

    Les orientalistes considèrent que c'est l'absence de signes diacritiques dans les premières copies du Coran qui est à l'origine d'une imprécision du texte, d'où l'existence de variantes dans sa récitation.

    Mais ce n'est là que théorie et non conclusion prouvée.

    Et les faits consistent en une inversion totale de la perspective : c'est en réalité le Prophète lui-même qui a enseigné des variantes de récitation.

    Wallâhu A'lam (Dieu sait mieux).

    copié de la maison de l'islam






    tout sur le coran

    19/11/2013 08:29



    سين جيم

    { القرآن الكريم }

    لماذا سميت سورة الفاتحة بهذا الأسم ؟

    لأنها تفتتح القرآن الكريم

    كم هو عدد حروف القرآن الكريم ؟

      240740 حرفاً

    كم هو عدد آيات القرآن الكريم ؟

      6236 آية

    كم هو عدد كلمات القرآن الكريم ؟

      77429 كلمة

    كم عدد أحزاب القرآن الكريم ؟

    ستون حزباً

    كم هو عدد القراءات التي نزلت عليها القرآن الكريم ؟

    سبع قراءات

    كم مرة وردت كلمة " نجم " في القرآن الكريم ؟

    ثلاث عشرة مرة

    هل نزلت سورة البقرة على الرسول محمد صلى الله عليه وسلّم في المدينة المنّورة أم في مكة المكرمة ؟

    في المدينة المنّورة

    ما معنى سورة مكيّة ؟

    نزلت في مكة المكرمة

    ما معنى سورة مدنية ؟

    نزلت في المدينة المنّورة

    بماذا تبدأ سورة الشّرح ؟

    أَلَمْ نَشْرَحْ لَكَ صَدْرَكَ

    بماذا تبدأ سورة النصر ؟

    إِذَا جَاء نَصْرُ اللَّهِ وَالْفَتْحُ

    بماذا تبدأ سورة محَمّد ؟

    الَّذِينَ كَفَرُوا وَصَدُّوا عَن سَبِيلِ اللَّهِ أَضَلَّ أَعْمَالَهُمْ

    بماذا تبدأ سورة القارعة ؟

    القَارِعَةُ

    بماذا تبدأ سورة الزّلزلة ؟

    إِذَا زُلْزِلَتِ الْأَرْضُ زِلْزَالَهَا

    بماذا تبدأ سورة الحاقّة ؟

    الحَاقَّةُ

    بماذا تبدأ سورة الهُمَزَة ؟

    وَيْلٌ لِّكُلِّ هُمَزَةٍ لُّمَزَةٍ

    بماذا تبدأ سورة القلم ؟

    ن وَالْقَلَمِ وَمَا يَسْطُرُونَ

    بماذا تبدأ سورة الرّحمَن ؟

    الرَّحْمَنُ

    بماذا تبدأ سورة النّجم ؟

    وَالنَّجْمِ إِذَا هَوَى

    أَكمِل هذه الآية : ( وَتَكُونُ الجِبَالُ كَالْعِهْن ...

    المَنْقُوشِ ) سورة القارعة الآية 5

    أَكمِل هذه الآية : ( لَكُمْ دِينْكُمْ ...

    وَليَ دِين ) سورة الكافرون الآية 6

    أَكمِل هذه الآية : (وَأَقِيمُواْ الصَّلاَةَ وَآتُواْ الزَّكَاةَ

    وَارْكَعُواْ مَعَ الرَّاكِعِينَ  ( سورة البقرة الآية 43

    أَكمِل هذه الآية : ( خَلَقَ الإنْسَانِ مِنْ ...

    صَلْصَالٍ كَالفَخَّارِ ( سورة الرّحمن الآية 14

    أَكمِل هذه الآية : ( وَاسْتعِينُوا بِالصَّبْرِ وَالصّلاة ...

    وإنَّهَا لَكَبيرَةٌ إلاَّ عَلَى الخَاشِعِين ( سورة البقرة الآية 45

    أَكمِل هذه الآية : ( يَخْرُجُ مِنْهُمَا الُّلؤْلُؤُ ...

    والمَرْجَانُ ( سورة الرّحمن الآية 22

    أَكمِل هذه الآية : ( إنّ مَعَ العُسْرِ ...

    يُسْراً ( سورة الشرح الآية 6

    أَكمِل هذه الآية : ( لقَدّ خَلَقْنَا الإنْسَانَ فِي أَحْسَنِ ...

    تَقْوِيمٍ ( سورة التّين الآية 4

    أَكمِل هذه الآية : ( فَأَمَّا مَنْ ثَقُلَتْ ...

    مِوِازِينُهُ ( سورة القارعة الآية 6

    قَال الله تَعالى : ( وَأَرْسَلَ عَليْيهمْ طِيْراً أَبابيل) في أيّة سورة توجد هذه الآية ؟

    سورة الفيل الآية 3

    قَال الله تَعالى : (إِنَّ اللَّهَ يَعْلَمُ غَيْبَ السَّمَاوَاتِ وَالْأَرْضِ وَاللَّهُ بَصِيرٌ بِمَا تَعْمَلُونَ) ما أسم السورة التي توجد فيها هذه الآية ؟

    الحجرات الآية 18

    قَال الله تَعالى : (وَلاَ يَنظُرُ إِلَيْهِمْ يَوْمَ الْقِيَامَةِ وَلاَ يُزَكِّيهِمْ وَلَهُمْ عَذَابٌ أَلِيمٌ) من هم هؤلاء ؟

    هم الَّذِينَ يَشْتَرُونَ بِعَهْدِ اللّهِ وَأَيْمَانِهِمْ ثَمَنًا قَلِيلاً

    من هو الرضيع الذي تكلّم في مهده ؟

    المسيح {عليه السلام} دفاعاً عن شرف أمه مريم البتول

    يقول الله تعالى (وَالَّذِينَ كَذَّبُواْ بِآيَاتِنَا وَاسْتَكْبَرُواْ عَنْهَا أُوْلََئِكَ أَصْحَابُ النَّارِ هُمْ فِيهَا خَالِدُونَ) في أية سورة توجد هذه الآية ؟

    سورة الأعراف الآية 36

    قال الله تعالى (يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آمَنُوا لَا تُقَدِّمُوا بَيْنَ يَدَيِ اللَّهِ وَرَسُولِهِ وَاتَّقُوا اللَّهَ إِنَّ اللَّهَ سَمِيعٌ عَلِيمٌ) في أيّة سورة توجد هذه الآية ؟

    سورة الحجرات الأية 2

    قال الله تعالى (فَقَالَ أَنَا رَبُّكُمُ الْأَعْلَى) سورة النازعات الآية 24، من الطاغية الذي قال لقومه هذا ؟

    فرعون

    قال الله تعالى (وَقَالَ الْإِنسَانُ مَا لَهَا) في أيّة سورة توجد هذه الآية ؟

    سورة الزّلزلة الآية 3

    إقرأ سورة العصر

    وَالْعَصْرِ (1) إِنَّ الْإِنسَانَ لَفِي خُسْرٍ (2) إِلَّا الَّذِينَ آمَنُوا وَعَمِلُوا الصَّالِحَاتِ وَتَوَاصَوْا بِالْحَقِّ وَتَوَاصَوْا بِالصَّبْرِ (3)

    قال الله تعالى (وَمَا أُمِرُوا إِلَّا لِيَعْبُدُوا اللَّهَ مُخْلِصِينَ لَهُ الدِّينَ حُنَفَاء وَيُقِيمُوا الصَّلَاةَ وَيُؤْتُوا الزَّكَاةَ وَذَلِكَ دِينُ الْقَيِّمَةِ) في أيّة سورة توجد هذه الآية ؟

    سورة البيِّنة الآية 5

    قال الله تعالى (فَجَعَلَهُمْ كَعَصْفٍ مَّأْكُولٍ) في أيّة سورة توجد هذه الآية ؟

    سورة الفيل الآية 5

    قال الله تعالى (وَالْعَادِيَاتِ ضَبْحًا) ما أٍم السورة التي تبدأ بهذه الآية ؟

    سورة العاديات

    قال الله تعالى (فَلْيَعْبُدُوا رَبَّ هَذَا الْبَيْتِ) في أيّة سورة توجد هذه الآية ؟

    سورة قريش الآية 3

    قال الله تعالى (أَوْ زِدْ عَلَيْهِ وَرَتِّلِ الْقُرْآنَ تَرْتِيلًا) في أيّة سورة توجد هذه الآية ؟

    سورة المزمل الآية 4

    قال الله تعالى (يَا مَعْشَرَ الْجِنِّ وَالْإِنسِ إِنِ اسْتَطَعْتُمْ أَن تَنفُذُوا مِنْ أَقْطَارِ السَّمَاوَاتِ وَالْأَرْضِ فَانفُذُوا لَا تَنفُذُونَ إِلَّا بِسُلْطَانٍ) سورة الرحمن الآية 33 ، ما هو هذا السلطان ؟

    سلطان العلم

    ماذا تعني الآية (وَإِذَا النُّجُومُ انكَدَرَتْ) سورة التكوير الآية 2

    حينما تنطفئ النجوم

    قال الله تعالى : وَمَا يَنطِقُ عَنِ الْهَوَى (3) إِنْ هُوَ إِلَّا وَحْيٌ يُوحَى (4) سورة النجم ، بحق من قال الله هذا الكلام ؟

    النبيّ محمد {صلى الله عليه وسلّم}

    قال الله تعالى (سَنَشُدُّ عَضُدَكَ بِأَخِيكَ وَنَجْعَلُ لَكُمَا سُلْطَانًا) في حق أيّ رسول نزلت هذه الآية ؟

    موسى عليه السلام ، سورة القصص الآية 35

    قال الله تعالى (وَمَا كَانَ الْمُؤْمِنُونَ لِيَنفِرُواْ كَآفَّةً فَلَوْلاَ نَفَرَ مِن كُلِّ فِرْقَةٍ مِّنْهُمْ طَآئِفَةٌ لِّيَتَفَقَّهُواْ فِي الدِّينِ وَلِيُنذِرُواْ قَوْمَهُمْ إِذَا رَجَعُواْ إِلَيْهِمْ لَعَلَّهُمْ يَحْذَرُونَ (ما أسم السورة التي توجد فيها هذه الآية ؟

    سورة التّوبة الآية 122

    قال الله تعالى (تَبَّتْ يَدَا أَبِي لَهَبٍ وَتَبَّ) سورة المسد آية 1، من هو أبو لهب ؟

    عمُّ الرسول محمد عليه الصلاة والسلام

    من هم أصحاب الشمال في القرآن الكريم ؟

    هم الكفرة الذين لم يتوبوا

    من هم أصحاب الكهف ؟

    فنية مؤمنون فرّوا من ملك طرسوس بسوريا

    من هم قوم النبيّ صالح { عليه السلام } ؟

    قبائل ثمود

    من هم قوم النبيّ هود { عليه السلام } ؟

    عاد

    ما معنى كلمة إسلام شرعاً ؟

    هو الإستسلام لله ولإرادته

    طيلة كم سنة دعا النبيّ نوح { عليه السلام } ، قومه للإيمان ؟

      950 سنة

    مِمَ خلق الله حواء ؟

    خلقها من ضلع آدم { عليه السلام } من الناحية اليسرى

    من هو المخلوق الذي جاء بغير أب ولا أم ؟

    آدم أبو البشرية { عليه السلام }

    من هي المرأة التي يرَاها الله من فوق سبع سماوات ؟

    عائشة بنت أبو بكر

    ما أسم الأخوين اللذين بعثهما الله لبني إسرائيل ؟

    موسى وهارون { عليهما السلام }

    لمن أوحي الله بالزبور ؟

    النبيّ داوود { عليه السلام }






    Explication du verset gens du Livre venez a une parole commune

    26/09/2013 12:29



    Allahسبحانه و تعالى a dit : {Ils ont pris leurs rabbins et leurs moines, ainsi que le Messie fils de Marie, comme Seigneurs en dehors d'Allah, alors qu'on ne leur a commandé que d'adorer un Dieu unique. Pas de divinité à part Lui ! Gloire à Lui ! Il est au-dessus de ce qu'ils [Lui] associent.}30 قال تعالى :اتَّخَذُوا أَحْبَارَهُمْ وَرُهْبَانَهُمْ أَرْبَابًا مِنْ دُونِ اللَّهِ وَالْمَسِيحَ ابْنَ مَرْيَمَ وَمَا أُمِرُوا إِلَّا لِيَعْبُدُوا إِلَهًا وَاحِدًا لا إِلَهَ إِلَّا هُوَ سُبْحَانَهُ عَمَّا يُشْرِكُونَ Ibn Kathîr a dit au sujet de ce verset : « Sa parole :{Ils ont pris leurs rabbins et leurs moines, ainsi que le Christ fils de Marie, comme Seigneurs en dehors d'Allah}, l'Imam Ahmad, At-Tirmidhî et Ibn Jarîr ont rapporté – suivant plusieurs chaînes – d'après 'Adî Ibn Hâtim رضي الله عنهqui s'enfuit au Shâm lorsque l'appel du Messager d'Allah صلى الله عليه وسلمl'a atteint tandis qu'il était devenu chrétien durant l'époque préislamique. Sa sœur et une partie de son peuple furent faits prisonniers puis le messager d'Allah صلى الله عليه وسلمfit preuve de clémence à son égard et la libéra. Elle retourna auprès de son frère et lui fit désirer l'Islam et la rencontre du messager d'Allah. 'Adî رضي الله عنهse rendit donc à Médine, lui qui était un dirigeant parmi son peuple les Tayy et son père était Hâtim At-Tâ`î connu sous le nom d'Al-Karam. Les gens parlèrent donc de sa venue. Il entra donc auprès du messager d'Allah صلى الله عليه وسلم – en portant à son cou un croix en argent – alors que celui-ci récitait ce verset : {Ils ont pris leurs rabbins et leurs moines comme Seigneurs en dehors d'Allah}. 'Adî dit : '' Je dis : Ils ne les adorent pas. Il répondit alors : Mais si, ils leur ont rendu illicite le licite et leur ont rendu licite l'illicite et ceux-ci les ont suivi. Telle est donc l'adoration qu'ils leur vouent.'' […] C'est également ainsi que Houdhayfa Ibn Al-Yamân, 'Abdoullah Ibn 'Abbâss et d'autres interprétèrent Sa parole : {Ils ont pris leurs rabbins et leurs moines comme Seigneurs en dehors d'Allah}, ils les ont suivi dans ce qu'ils ont rendu licite et illicite. As-Souddî a dit : ils prirent l'avis des hommes et jetèrent le Livre d'Allah derrière leur dos, et c'est pourquoi Il a dit : {alors qu'on ne leur a commandé que d'adorer un Dieu unique.}C’est-à-dire celui qui lorsqu'Il rend une chose illicite elle est illicite, ce qu'Il rend licite est licite, ce qu'Il légifère est suivi et ce qu'Il juge est exécuté. {Pas de divinité à part Lui ! Gloire à Lui ! Il est au-dessus de ce qu'ils [Lui] associent.}, qu'Il soit élevé et sanctifié bien au-dessus des associés, des homologues, des assistants, des rivaux et des enfants. Nulle divinité en dehors de Lui, et nul autre Seigneur que Lui. » قال إبن كثير رحمه الله :وقوله تعالى (اتخذوا أحبارهم ورهبانهم أربابا من دون الله والمسيح بن مريم)، روى الإمام أحمد والترمذي وابن جرير من طرق عن عدي بن حاتم رضي الله عنه أنه لما بلغته دعوة رسول الله صلى الله عليه وسلم فرَّ إلى الشام، وكان قد تنصر في الجاهلية، فأسرت أخته وجماعة من قومه، ثم مَنَّ رسول الله صلى الله عليه وسلم على أخته وأعطاها، فرجعت إلى أخيها فرغَّبَته في الإسلام وفي القدوم على رسول الله صلى الله عليه وسلم .فقدم عدي رضي الله عنه إلى المدينة وكان رئيسا في قومه طيء، وأبوه حاتم الطائي المشهور بالكرم، فتحدث الناس بقدومه، فدخل على رسول الله صلى الله عليه وسلم ء وفي عنق عدي صليب من فضة ء وهو يقرأ هذه الآية(اتخذوا أحبارهم ورهبانهم أربابا من دون الله)قال عدي:فقلت:إنهم لم يعبدوهم، فقال صلى الله عليه وسلم:(بلى، إنهم حرموا عليهم الحلال وأحلوا لهم الحرام فاتبعوهم، فذلك عبادتهم إياهم[...]وهكذا قال حذيفة بن اليمان وعبد الله بن عباس وغيرهما في تفسير قوله تعالى (اتخذوا أحبارهم ورهبانهم أربابا من دون الله)إنهم اتبعوهم فيما حللوا وحرموا، وقال السدي:استنصحوا الرجال ونبذوا كتاب الله وراء ظهورهم، ولهذا قال تعالى (وما أمروا إلا ليعبدوا إلها واحدا)أي الذي إذا حرم الشيء فهو الحرام، وما حلله فهو الحلال، وما شرعه اتبع، وما حكم به نفذ(لا إله إلا هو سبحانه عما يشركون)أي تعالى وتقدس وتنزه عن الشركاء والنُّظَرَاء والأعوان والأضداد والأولاد، لا إله إلا هو، ولا رب سواه Tafsîr al-qour`ân al-'azhîm, t. 4, p. 135, (تفسير إبن كثير). Sheikh Al-Islâm Ibn Taymiya a dit en commentant ce verset : « Aboû Al-Boukhtarî a dit la même chose : « Ils ne priaient pas pour eux et s'ils leur avaient ordonné de les adorer en dehors d'Allah, ils ne leur auraient pas obéi. En réalité, ils leur ont ordonné en rendant illicite ce qu'Allah a rendu licite et en rendant licite ce qu'Allah a rendu illicite. Ceux-ci leur obéirent et telle était leur seigneurie. Et Ar-Rabî' Ibn Anas a dit : ''J'ai demandé à Aboû Al-'Âliya comment était cette seigneurie entre les enfants d'Israël. Il répondit que cette seigneurie tenait dans le fait qu'ils trouvèrent dans le Livre d'Allah ce qui leur avait été ordonné et ce qui leur avait été interdit mais ils dirent : Nous ne mettrons rien en avant par rapport à nos rabbins, ce qu'ils nous ordonnent sera l'ordre et ce qu'ils nous interdisent sera l'interdit. Ils suivirent donc l'avis des hommes et jetèrent le livre d'Allah derrière leur dos.'' » قال شيخ الإسلام بن تيمية :وكذلك قال أبو البختري:أما إنهم لم يصلوا لهم ولو أمروهم أن يعبدوهم من دون الله ما أطاعوهم، ولكن أمروهم فجعلوا حلال الله حرامه وجعلوا حرام الله حلاله فأطاعوهم فكانت تلك الربوبية، وقال الربيع بن أنس:قلت لأبي العالية:كيف كانت تلك الربوبية في بني إسرائيل؟ قال:كانت الربوبية أنهم وجدوا في كتاب الله ما أُمِرُوا به ونُهُوا عنه، فقالوا:لن نسبق أحبارنا بشيء، فما أمرونا به ائتمرنا، وما نهونا عنه انتهينا لقولهم، فاستنصحوا الرجال ونبذوا كتاب الله وراء ظهورهم Majmoû' al-fatâwâ, t. 7, p. 67, (مجموع فتاوى شيخ الإسلام بن تيمية). Sheikh 'Abd Ar-Rahmân Ibn Hassan dit en commentaire de ce verset : « Il est donc apparu par cela que ce verset prouve que quiconque obéit à autre qu'Allah et Son messager, et s'est détourné de prendre du Livre et de la Sounna pour rendre licite ce qu'Allah a rendu illicite et rendre illicite ce qu'Allah a rendu licite, et lui a obéit dans la désobéissance à Allah, et l'a suivi dans ce qu'Allah n'a pas autorisé, il l'a certes pris comme seigneur adoré et a fait de lui un associé à Allah.Ceci annule le Tawhîdqui est la religion d'Allah définie par la parole du monothéisme pur ''Il n'y a de divinité qu'Allah''. La divinité est celui qui est adoré, et Allah تعالىa nommé leur obéissance adoration et Il les a nommé seigneurs comme Il a dit : {Et il ne vous ordonne pas de prendre pour seigneurs anges et prophètes.}c'est-à-dire associés à Allah dans l'adoration, {Vous ordonnerait-il la mécréance après que vous ayez été musulmans ?}et c'est cela le Chirk. Ainsi, tout ce qui est adoré est un seigneur et tout ce qui est obéit et suivi dans ce qu'Allah et Son messager n'ont pas légiféré a certes été pris comme seigneur adoré par celui qui lui obéit et le suit. » قال الشيخ عبد الرحمن بن حسن رحمه الله :فظهر بهذا أن الآية دلت على أن من أطاع غير الله ورسوله.وأعرض عن الأخذ بالكتاب والسنة في تحليل ما حرم الله، أو تحريم ما أحله الله، وأطاعه في معصية الله، واتبعه فيما لم يأذن به الله، فقد اتخذه ربا ومعبودا وجعله لله شريكا، وذلك ينافي التوحيد الذي هو دين الله الذي دلت عليه كلمة الإخلاص "لا إله إلا الله"؛ فإن الإله هو المعبود، وقد سمى الله تعالى طاعتهم عبادة لهم، وسماهم أربابا، كما قال تعالى:{وَلا يَأْمُرَكُمْ أَنْ تَتَّخِذُوا الْمَلائِكَةَ وَالنَّبِيِّينَ أَرْبَاباً}3أي شركاء لله تعالى في العبادة {أَيَأْمُرُكُمْ بِالْكُفْرِ بَعْدَ إِذْ أَنْتُمْ مُسْلِمُونَ}وهذا هو الشرك.فكل معبود رب، وكل مطاع ومتبع على غير ما شرعه الله ورسوله فقد اتخذه المطيع المتبع ربا ومعبودا Fath al-majîd, p. 79, (فتح المجيد شرح كتاب التوحيد).






    Début | Page précédente | 1 2 3 4 5 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact sunnia ]

    © VIP Blog - Signaler un abus