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Invitation personnelle de Jean-Marc Dupuis
11/06/2015 12:24
Invitation personnelle de Jean-Marc Dupuis
Chère lectrice, cher lecteur,
En tant que fidèle abonné de Santé Nature Innovation, vous savez que je suis constamment en recherche d'avancées dans les domaines de la prévention, la nutrition, les thérapies alternatives et innovantes.
Ma passion est de suivre les découvertes de la science pour guérir les maladies et souffrances, et d'aller à la recherche des remèdes oubliés ou venus d'ailleurs.
Mais vous êtes nombreux à me réclamer plus d'informations et de conseils : lettres complémentaires suite à certains de mes messages, plus d'avis sur les thérapies alternatives dont je ne parle pas souvent dans ma lettre (homéopathie, sophrologie, ostéopathie, acupuncture…), commentaires sur l'actualité médicale...
Le problème est que ces demandes sont trop nombreuses et diverses pour s'insérer dans ma lettre d'information, qui ne traite que d'un sujet majeur à la fois.
Cela m'oblige à laisser de côté quantité d'informations qui pourraient vous intéresser, que cela concerne des maladies graves (cancer, Alzheimer, diabète, arthrose…), des maladies courantes (mal de dos, mal de tête, infections, troubles digestifs, problèmes de peau, de vue, d'ouïe…), le bien-être (sommeil, énergie, moral, beauté…), ou tout autre sujet important qui nous concerne tous (la douleur, les relations avec l'entourage en cas de maladie, comment trouver un bon médecin, etc.)
Mais j'ai trouvé la solution :
Entrez dans
Le Club Santé Nature Innovation
Nous avons décidé de constituer un cercle restreint de lecteurs qui recevront ces informations particulières de ma part – et je vous propose à vous tout spécialement d'en faire partie.
Le but est en effet de limiter l'accès pour que je puisse gérer les demandes qui me parviendront.
Je continuerai d'envoyer la lettre Santé Nature Innovation régulièrement à l'ensemble de mes lecteurs.
Mais ce petit groupe, et lui uniquement, recevra en plus mes alertes spéciales lorsque je trouverai un remède intéressant, les résultats d’une nouvelle étude, un traitement prometteur...
Je vous donnerai le titre de l'article, la source et une brève description du contenu. Si le sujet ne vous intéresse pas, il vous suffira de l'ignorer.
D'un autre côté, certaines alertes pourront sans doute vous aider, vous ou quelqu'un de votre famille, de votre entourage. J'évoquerai régulièrement de réelles pistes de guérison !
Si un article contient des informations qui vous concernent, vous aurez un lien direct vers l'original – les mêmes documents que j'archive et auxquels je me réfère lorsque je prépare mes lettres et mes livres.
Exemples de ce que vous pourrez recevoir :
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la moule aux orles verts (« green-liped mussel ») de Nouvelle-Zélande : selon certains auteurs, ce serait le secret des guerriers maoris capables de courser le gibier à l'âge de 80 ans, sans douleurs articulaires !
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Best-seller au Québec : Jacqueline Lagacé explique comment un régime sans lait et sans gluten a rétabli ses mains et son genou à 100 %.
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Mémoire : une nouvelle étude montre que les personnes âgées devraient se supplémenter en vitamine E.
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Prostate : les vertus inattendues de la tomate.
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Beauté : l'huile essentielle de pâquerette est l'alliée naturelle des belles poitrines naturellement fermes ; sans aucun danger, bon marché, elle est efficace et était déjà utilisée il y a des centaines d'années.
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Une santé de fer : votre corps est équipé de filtres pour évacuer les déchets. Appelés « émonctoires », ce sont les poumons, les reins, le foie et dans une grande mesure la peau. Actuellement, la médecine ne s'en préoccupe plus tant qu'ils fonctionnent normalement. C'était bien différent autrefois où l'on connaissait l'importance des drainages aux changements de saison. Redécouvrir cette saine habitude pourrait vous éviter de graves maladies.
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Danger : des antibactériens dans le savon menacent les femmes enceintes et le fœtus.
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Accidents cardiaques : une nouvelle étude indique que le magnésium aide à prévenir les accidents vasculaires cérébraux (AVC) ; une autre qu'il améliore les performances physiques des personnes âgées.
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Innovation : des chercheurs découvrent une nouvelle technique anti-stress révolutionnaire, appelée « tremblement thérapeutique ». À essayer la prochaine fois que vous sentez l'angoisse monter en vous.
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Cancer du pancréas : ce cancer foudroyant peut-être prévenu grâce à des compléments alimentaires antioxydants.
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Urgent : parution d'un guide pour manger moins pollué.
C'est le type d'informations que je vous enverrai aussitôt que vous entrerez au Club Santé Nature Innovation.
Si elles ne vous intéressent pas, vous les effacerez en un clic. Mais forcément, vous profiterez personnellement d'un grand nombre d'entre elles.
Vous diminuerez fortement votre risque de prendre, sans vous en douter, une décision potentiellement dramatique pour votre santé. Votre entourage saura qu'il peut compter sur vous pour être au courant des nouveautés dans le domaine en pleine ébullition des nouvelles médecines.
Vous serez directement branché sur le centre névralgique de la médecine naturelle de pointe !
Ma ligne directe pour vos questions urgentes
De plus, vous aurez la possibilité de m'envoyer vos questions, à mon adresse électronique personnelle (que je vous communiquerai). Chaque semaine, je sélectionnerai plusieurs de vos questions et j'enverrai mes réponses à tous les membres, sans citer bien sûr le nom ni aucun détail concernant les personnes les ayant posées.
Cela vous permettra d'avoir une sorte de ligne directe avec moi, chaque fois que vous avez une question urgente à poser.
Lettres spéciales complémentaires, sur mesure
Les membres du Club reçoivent aussi régulièrement des lettres d'information complémentaires et préparées sur mesure.
Ils ont droit à se voir proposer des traitements, des noms de produits dont je ne parle pas à tout le monde (petits producteurs qui n'auraient pas la capacité de suivre), des invitations et des informations particulières et privées que je ne peux divulguer à tous sous peine de déclencher un afflux ingérable de réponses.
Il peut s'agir par exemple du nom d'un thérapeute que j'ai consulté, et dont les résultats m'ont impressionné. D'un nouveau produit que j'ai essayé, mais qui n'est pas encore disponible à grande échelle. D'une rencontre ou d'une expérience personnelle que j'ai faite, mais que je préfère ne pas diffuser sur la place publique.
Car, bien entendu, ces lettres ne seront pas publiées sur notre site, ni nulle part ailleurs sur Internet.
Elles sont exclusivement réservées aux membres du Club.
Recevez mes 8 dossiers
sur mes secrets de santé les plus précieux
Les membres du Club Santé Nature Innovation recevront mes 8 dossiers sur mes secrets de santé les plus précieux :
J'ai en effet travaillé tout l'été à rassembler les fondamentaux d'une vie en pleine santé :
• DOSSIER N°1 : La fin des maladies cardiaques (30 pages) : on sait aujourd'hui comment éviter l'infarctus, les accidents vasculaires cérébraux. Je vous révèle comment, et vous dis ces vérités qu'on vous cache sur le cholestérol, les triglycérides, l'hypertension, le sel, l'alcool et le tabac.
• DOSSIER N°2 : Le diabète vaincu (12 pages) : ne croyez pas ce qu'on vous raconte sur le diabète ; pratiquement tous les médicaments contre le diabète aggravent votre état de santé ; les études scientifiques ont aujourd'hui montré la supériorité des méthodes naturelles pour contrôler le diabète et, dans de nombreux cas, en guérir ; je vous dis tout ce qu’il est utile de savoir à ce sujet.
• DOSSIER N°3 : Libérez-vous de l'arthrose et des rhumatismes (17 pages) : la médecine est aujourd'hui impuissante face aux douleurs articulaires. Prendre de simples antidouleurs (anti-inflammatoires non-stéroïdiens) n'est pas envisageable sur le long terme, et dangereux. Les approches naturelles ont là aussi fait la preuve de leur supériorité. Dans certains cas, elles peuvent totalement vous libérer en quelques mois. Vous n'avez plus aucune douleur. Vous pouvez danser, courir, bricoler, escalader.
• DOSSIER N°4 : Stop aux douleurs d'estomac (18 pages) : Si vous souffrez de crampes d'estomac, de reflux, de ballonnements, de diarrhées ou de constipation, il faut vous en préoccuper car vous êtes peut-être guetté par des maladies bien plus graves encore. « La mort commence dans le côlon (gros intestin) », dit le dicton. Réduisez votre risque de maladie et de décès grâce à des plantes et à de simples ajustements de votre alimentation, qui sont précisément indiqués dans ce dossier.
• DOSSIER N°5 : Dormir comme un petit enfant (13 pages) : des produits naturels vous affranchissent des nuits agitées et du mauvais sommeil. C'est reconnu par la médecine. Retrouvez énergie, moral, calme intérieur grâce à ces solutions. Si vous souffrez de migraine et de déprime, un bon sommeil pourrait aussi faire disparaître ces problèmes.
• DOSSIER N°6 : maigrir pour être en bonne santé (13 pages) : Vous allez découvrir grâce à ce dossier qu’il est possible d’avoir un corps svelte et fin avec moins d’efforts que vous ne le pensez. Maigrir sans regrossir peut-être un objectif esthétique, mais c’est surtout un impératif de santé. La première chose à faire est de contrôler son appétit et ce dossier vous dit comment, naturellement !
• DOSSIER N°7 : Que faire contre la fatigue (14 pages) : à tout moment 20 à 40% de la population se plaint de fatigue. Dans un peu moins de la moitié des cas, cette fatigue reste inexpliquée et quand elle se prolonge, les médecins se trouvent souvent désarmés. Si cela vous arrive, pensez d’abord aux médicaments, ils sont nombreux à causer des fatigues. Mais il existe aussi 14 types de fatigue différentes avec à chaque fois des symptômes spécifiques et des manières différentes de s’en débarrasser.
• DOSSIER N°8 : Un moral d'acier tous les jours (32 pages) : démarrez chaque journée avec l'énergie d'un général d'infanterie. La déprime, le stress et l'anxiété se combattent avec des méthodes ciblées et structurées. Évitez à tout prix les médicaments qui masquent les problèmes et risquent de les aggraver. Remplacez-les par une hygiène de vie et des produits naturels efficaces.
Tous ces dossiers regroupent 149 pages remplies de mes secrets de santé les plus précieux et sont sur mon bureau, prêts à vous être envoyés. Ils sont proposés au prix public de 14 euros chacun.
Mais pour les Membre du Club Santé Nature Innovation, ils sont gratuits et inclus dans la cotisation.
Le prix ne doit être un problème pour personne
Avant de vous indiquer comment rejoindre le Club Santé Nature Innovation, je précise que la restriction que j'ai imposée (et à laquelle je tiens beaucoup), est qu'aucune personne n'en soit exclue à cause d'une question d'argent.
En tant que membre, vous bénéficiez du privilège spécial d'entrer dans le Club Santé Nature Innovation pour moins d'un centime par jour.
Cette cotisation symbolique n'est que de 2,95 euros pour une année entière de plein bénéfice de tous les avantages du Club Santé Nature Innovation. Ce privilège est nominatif et n'est attribué qu'à un nombre restreint de lecteurs. Toutefois, une fois qu'il vous est attribué, vous pouvez le conserver à vie.
Vous bénéficierez donc, sans limite dans le temps, de tous les avantages listés ci-dessus :
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mes alertes et informations spéciales sur les nouveaux traitements, thérapies, remèdes, méthodes de guérison en temps réel ;
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vos 8 dossiers sur mes secrets de santé. Rappel : ces dossiers concernent des sujets de santé aussi importants que les maladies cardiaques, le diabète, l'arthrose et les rhumatismes, les douleurs d'estomac, les insomnies, la dépression.
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Ma ligne directe pour vos questions urgentes
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des Lettres Santé Nature Innovation particulières qui vous sont réservées
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Plus des invitations et surprises réservées aux membres du Club, comme par exemple des réductions importantes sur des produits naturels essentiels que nous nous procurerons en achat groupé.
Vous pouvez bien sûr faire un essai et arrêter dès que vous le souhaitez.
L'annulation, comme l'inscription, se fait en un clic. Sachez en tout cas que je ferai tout ce dont je suis capable pour dépasser vos attentes.
Confidentialité absolue, sécurité totale
Santé Nature Innovation milite pour le respect le plus total de la vie privée et la sécurisation la plus absolue des données sur Internet.
Santé Nature Innovation s'engage pour la nouvelle norme de paiement européen sécurisé SEPA, pour une sécurité absolue des paiements sur Internet.
Pour adhérer au Club Santé Nature Innovation aujourd'hui :
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Vous n'avez pas besoin de carte bancaire.
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Vous ne divulguez strictement aucune donnée confidentielle vous concernant. Vous ne prenez aucun risque.
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Le prélèvement SEPA permet à votre banque de vous garantir le remboursement sans condition de votre paiement pendant huit semaines. À tout moment, pendant cette période, vous pouvez contester et obtenir le remboursement de votre cotisation, sans aucun frais ni demande de justificatif.
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Cette garantie de votre banque s'ajoute à celle qui vous est donnée par Santé Nature Innovation (satisfait ou remboursé, sans aucune restriction).
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Vous accédez sans aucun délai à tous les droits que vous garantit l'adhésion au Club Santé Nature Innovation.
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Le nouveau système de prélèvement SEPA se fait grâce à un simple RIB (Relevé d'Identité Bancaire). Vous trouverez ce RIB à la fin de votre chéquier, sur votre relevé de compte, ou sur Internet en vous connectant à vos comptes bancaires. Vous pouvez aussi téléphoner à votre banque pour le recevoir, ou si vous avez un doute.
En toute franchise, je ne pense pas qu’une meilleure offre puisse être faite dans ce domaine. Les avantages du Club Santé Nature Innovation sont tout simplement imbattables.
Je vous invite à adhérer au Club dès maintenant en cliquant ici. Rappelez-vous qu'il n'y a aucune restriction si vous changez d'avis par la suite. Vous serez satisfait ou remboursé quoi qu'il arrive.
Et en attendant de pouvoir vous souhaiter la bienvenue parmi les membres du Club Santé Nature Innovation, permettez-moi de vous redire, une nouvelle fois :
À votre santé !
Jean-Marc Dupuis
PS : Un avantage supplémentaire réservé aux membres du Club Santé Nature Innovation : « Mes Recettes de santé venues d'ailleurs ».
Au cours de mes recherches, je découvre souvent de délicieuses recettes de cuisine : bonnes pour la santé, avec des goûts originaux mais excellentes, elles feront le bonheur de votre famille et vos amis. En tant que membre du Club, vous les recevrez régulièrement par courrier électronique.
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Commentaire de lily6259 (02/02/2016 01:28) :
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Commentaire de sunnia (26/02/2016 09:43) :
salut
pourquoi avoir mit censuré, j'ai pas compris
merci de me repondre
http://sunnia.vip-blog.com/
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Epidémie de diphtérie
11/06/2015 12:10
Chère lectrice, cher lecteur,
Un petit Espagnol qui n'était pas vacciné a attrapé fin mai la diphtérie.
Cette maladie est donc réapparue après 27 ans, car le dernier cas enregistré en Espagne date de 1983 !
L'affaire illustre l'importance de fournir aux populations le vaccin Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite (DTP) qui est actuellement en rupture de stock en France, et remplacé par le super-vaccin Infanrix Hexa, très controversé [1].
Tout aussi dramatique, on s'est aperçu à cette occasion que les Autorités de santé espagnoles ne disposaient d'aucune dose du traitement contre la diphtérie.
Rappelons que la diphtérie est une terrible maladie infectieuse provoquée par une bactérie qui commence par un gonflement de la gorge et peut détruire tous les organes. Sans traitement, on en meurt dans 40 % des cas.
Toutefois, le traitement a été découvert par le célèbre Dr Emile Roux il y a plus de 120 ans, en 1894 !!
Il s'agit d'injecter au malade du sérum d'un patient ayant lui-même attrapé la maladie et y ayant survécu. Le sérum est le liquide principal composant le sang et il contient alors des « antitoxines » qui permettent de neutraliser les toxines mortelles produites par la bactérie de la diphtérie.
Ce traitement permet de soigner 98 % des cas de diphtérie. Car le taux de décès est de :
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0 % si le sérum est injecté le1er jour
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4 % si le sérum est injecté le 2e jour
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11 % si le sérum est injecté le 3e jour
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17 % si le sérum est injecté le 4e jour
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20 % si le sérum est injecté le 5e jour ou au delà.
On comprend donc l'extrême urgence d'administrer le traitement quand on diagnostique une diphtérie.
Le pot-aux-roses est découvert !
Le problème, c'est que les Autorités de santé espagnoles ne disposaient pas en réserve de la moindre dose de sérum antidiphtérique quand le cas s'est déclaré.
Le petit Espagnol (dont on ignore le nom mais dont on sait qu'il a 6 ans) a montré des symptômes de diphtérie dès le 23 mai.
Ce n'est que le 28 mai, soit 5 jours plus tard, qu'il a été admis à l'hôpital.
Il a fallu encore attendre un jour pour analyser un échantillon de son sang au Centre national de microbiologie, et encore un jour pour confirmer le diagnostic de diphtérie.
Ce n'est que le 30 mai qu'il fut transféré en catastrophe à l'hôpital du Vall d'Hebron. Et c'est là que le pot-aux-roses fut découvert : nulle part en Espagne il n'y avait la moindre dose de sérum antidiphtérique [2] !!!
Autrement dit, l'Espagne se retrouvait, ni plus ni moins, dans la même situation que la France au début du XIXe siècle, quand le traitement n'existait pas encore.
Le ministère de la Santé espagnol, humilié, n'eut alors pas d'autre choix que de lancer un appel international à un pays capable de fournir le traitement.
La suite est digne d'un mauvais James Bond :
Après moult rebondissements, il fallut encore attendre 4 jours pour que, finalement, ce soit l'ambassadeur de Russie qui prenne spécialement l'avion de Moscou pour apporter, en Espagne, une dose de sérum [3] !!
Tout cela alors que, dans le traitement de la diphtérie, chaque jour compte !!
Cette histoire est tellement aberrante que vous avez sûrement du mal à y croire. Vous pouvez vérifier tout ce que j'ai écrit en consultant les références indiquées en bas de cet article. Il y a tous les liens vers les articles de la presse internationale.
Pas de lien fort entre vaccination et recul de la diphtérie
Certains pourraient penser qu'il est normal de ne pas avoir de traitements en Europe, puisque tout le monde est vacciné, ou devrait l'être.
En réalité, la vaccination ne protège jamais à 100 %. Il faut donc vacciner… et prévoir le traitement en cas de problème.
En effet, les épidémies de diphtérie, comme pour toutes les maladies infectieuses, peuvent toujours resurgir en cas de brusque dégradation des conditions de vie des populations, avec rupture des réseaux d'approvisionnement en eau potable et en nourriture et d'éventuels troubles civils (Fukushima par exemple).
La vaccination contre la diphtérie fut généralisée en France en 1938.
Pourtant, les cas de maladie furent multipliés par trois pendant la Seconde Guerre mondiale, passant de 15 000 à 45 000 par an.
En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie en 1918, à la fin de la Première Guerre mondiale.
Dans les années 20, il n'y avait plus que 25 000 cas. Le régime nazi instaura la vaccination obligatoire dans les années 30. Mais en 1945, le nombre de cas de diphtérie était de 250 000, soit dix fois plus haut !
Cette flambée était évidemment due à la guerre qui avait ravagé le pays.
La paix revenue, le nombre de cas recula à nouveau de façon spectaculaire. Il n'y avait plus que 42 500 cas de diphtérie en Allemagne en 1950, 2500 en 1960, 800 en 1962, et 35 en 1972 !
Et c'est seulement alors, dans les années 70, que les grandes campagnes de vaccination contre la diphtérie recommencèrent en Allemagne [4].
En Espagne, on estime qu'il y avait au début du XXe siècle 60 000 cas de diphtérie chaque année et près de 5000 morts. Les données de l'année 1901 indiquent précisément 6299 morts.
En 1936 (début de la Guerre civile), il n'y avait plus que 1100 morts par an, mais en 1939, à la fin de la Guerre civile, le nombre était remonté à 4058.
En 1950, après la terrible Seconde Guerre mondiale, il n'y eut en Espagne que 297 morts de la diphtérie et, en 1964, 81 seulement. Sur la période de 1901 à 1964, le taux de décès a donc diminué de 98,7 % et celui de la maladie de 97,2 %.
La vaccination contre la diphtérie ne fut introduite à grande échelle en Espagne qu'à la fin des années 60, alors que la maladie ne faisait déjà pratiquement plus de morts.
La situation fut la même en Norvège, où la population n'était pas vaccinée contre la diphtérie. Elle eut 17 000 cas de diphtérie en 1919, contre seulement 54 en 1939, dont seulement 2 morts, quand la guerre éclata.
Mais la vaccination devint obligatoire en 1941 quand la Norvège fut occupée par les Allemands. En 1942, il y eut une très forte recrudescence, avec 22 787 cas et près de 700 morts.
Il est donc clair que la vaccination n'a joué qu'un rôle très mineur dans le recul de la maladie. L'hygiène et les traitements médicaux (antitoxine) ont, eux, joué un rôle majeur, incontournable [5]. (la suite ci-dessous)
Annonce spéciale
Les solutions naturelles pour prévenir et soigner arthrose, diabète, infarctus, AVC...
Si vous souhaitez en apprendre plus sur les nouvelles thérapies, regardez cette vidéo. Rien que dans la première partie, vous y découvrez les solutions naturelles pour prévenir et soigner arthrose, diabète, infarctus, AVC...
Suite de la lettre de ce jour :
Phénomène similaire pour d'autres maladies infectieuses
On observe d'ailleurs le même phénomène pour d'autres maladies infectieuses.
Ci-dessous, vous pouvez voir un graphique indiquant le recul des morts dûs à la rougeole (measles en anglais), à la scarlatine, au typhus, à la coqueluche (whooping cough) et à la diphtérie aux Etats-Unis.
Dans tous les cas, le nombre de morts a progressivement chuté avec le développement de l'hygiène, de l'eau potable, d'une meilleure nutrition entraînant une meilleure immunité, et bien sûr la découverte de nouveaux traitements médicaux, dont les antibiotiques.

Toutefois, à chaque grave crise entraînant une dégradation des conditions de vie, le nombre de décès dûs aux maladies infectieuses est remonté.
Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si c'est la Russie qui a procuré la dose de sérum antidiphtérique à l'Espagne. Ce pays a en effet connu une grave recrudescence de diphtérie après l'effondrement du système soviétique, dans les années 90 [6], qui a abandonné à leur sort de larges pans de la population (personnes âgées, malades, isolées) qui dépendaient du système communiste pour leur survie et qui soudain n'ont plus eu aucune ressource.
L'extrême pauvreté, la misère noire, ont fait un retour en force et, avec elles, les maladies infectieuses d'autrefois.
Idem en Afrique du Sud, où le pays s'est fortement désorganisé depuis le début des années 2000 [7].
Les parents du petit Espagnol ont donc été imprudents. Mais les Autorités de santé n'ont pas été à la hauteur non plus, et à leur place j'éviterais de faire la morale à quiconque.
À noter que si l’on est allé chercher le sérum en Russie, c'est très probablement parce qu'il n'y en avait pas non plus en France, en Allemagne, en Angleterre, ni en Italie.
Puisque vous savez désormais que vous ne pouvez pas compter sur les autorités pour vous fournir un traitement en cas de retour en force des maladies infectieuses, c'est une raison de plus pour prendre vos précautions afin de vous immuniser.
À votre santé !
Jean-Marc Dupuis
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Réponse aux attaques infondées visant la pétition sur le vaccin DT-Polio
01/06/2015 15:03
« Cela faisait longtemps que les antivaccins ne s'étaient pas manifestés. C'est chose faite. Depuis quelques jours, une vidéo du Pr Henri Joyeux fait un tabac sur le Net. [1] »
Ce sont les premières lignes de l'article que le journal Libération a consacré le 25 mai 2015 à la pétition que nous avons organisée, avec l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, pour le retour du classique vaccin DT-Polio dans les pharmacies.
Qu'une pétition demandant que soit respecté le droit des patients à avoir accès au vaccin obligatoire DT-Polio soit décrite comme « antivaccin » en dit long sur le caractère passionnel du débat.
Avons-nous encore le droit de soulever un sujet de santé délicat sans risquer aussitôt de se voir coller des étiquettes infamantes, par des personnes qui semblent plus chercher à caricaturer, ce qui est une manière d'empêcher le débat et la réflexion, qu'à contribuer à éclairer le public sur les questions qui le concernent ?
Reprenons notre calme et discutons ensemble posément.
Le DT-Polio obligatoire n’est plus commercialisé en France depuis 2008
Comme chacun le sait désormais, le vaccin DT-Polio obligatoire n'est plus commercialisé en France depuis 2008 par les laboratoires pharmaceutiques. C'est un fait. Personne ne peut affirmer, sans mentir, le contraire.
Depuis septembre 2014, la situation s’est aggravée avec une pénurie généralisée de vaccins tétravalents (DT-polio-coqueluche) et pentavalents (DT-polio-Haemophilus Influenzae B-coqueluche).
Le seul vaccin contenant le DT-Polio qui ne souffre d’aucune pénurie est le vaccin hexavalent DT-polio-Hib-coqueluche-hépatite B, Infanrix Hexa des laboratoires Glaxosmithkline.
Sur ces points, « le Pr Joyeux a raison », a reconnu le journaliste de Libération. Merci à lui pour cela, au moins.
Les parents sont donc actuellement obligés de recourir à l'Infanrix Hexa s'ils veulent protéger leurs enfants contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite, éviter les poursuites pénales prévues par la loi en cas de non-respect de l'obligation vaccinale, et garantir l'accès de leurs enfants aux collectivités (crèches, garderies, écoles, cantines… dont les enfants n'ayant pas reçu les vaccins obligatoires sont en général exclus).
Logiquement, nous demandons que, puisque le vaccin DT-Polio est obligatoire, il y ait une obligation pour les laboratoires pharmaceutiques de le fournir aux parents.
En cas de défaillance, il serait logique que les autorités de santé interviennent pour empêcher les laboratoires de jouer sur l'obligation vaccinale pour vendre du même coup d'autres vaccins facultatifs, éventuellement inutiles pour certains, car un vaccin n'est jamais anodin. Il existe toujours un risque, même s'il est faible, et il peut ne pas être raisonnable de vacciner si le patient n'a pas, ou peu de risques d'être en contact avec la maladie. C'est en particulier le cas de la valence hépatite B, présente dans l'Infanrix Hexa.
Le seul vaccin disponible est 7 fois plus cher
À ce problème purement médical s'en ajoute un autre, d'ordre financier.
Il se trouve que l'Infanrix Hexa coûte 39,04 euros contre 6,10 euros pour le simple DT-Polio, qui n'est plus disponible, soit près de 7 fois plus cher.
Multipliez cette différence par 700 000 naissances en France chaque année. La plus-value réalisée grâce à cette opportune pénurie se chiffre en dizaines de millions d'euros pour les laboratoires pharmaceutiques.
Cela ne veut pas dire que cette pénurie soit organisée. Nous ne l'avons jamais dit. Mais il n'en reste pas moins qu'il est permis de s'interroger sur le peu d'empressement des laboratoires pour y remédier.
Est-ce une hypothèse vraiment invraisemblable que d’imaginer qu’ils ne soient, au fond, pas si gênés que cela d'être « obligés » de vendre massivement ce vaccin si sophistiqué… et si cher ?
En lançant cet appel public aux autorités à enfin réagir (je rappelle que cela fait maintenant 7 ans que le traditionnel vaccin DT-Polio n'est plus vendu en France), nous savions que nous allions heurter des sensibilités, autant que des intérêts financiers majeurs. C'est le lot inévitable du « lanceur d'alerte ».
Désinformation et sape systématique par tous les médias
Ce à quoi nous n'étions pas préparés, en revanche, c'est que tous les aspects de notre pétition allaient être contestés, y compris en y opposant de pures inventions (je vais y revenir), comme s'il existait une sorte d'urgence de convaincre le public que nous n'aurions écrit que des âneries voire des mensonges.
Ces accusations, initialement formulées sur un simple blog anonyme, ont été reprises telles quelles par nombre de grands sites d'information, de Rue89 jusqu'au site du journal Le Monde, en passant par BFMTV, L’Obs ou encore France TV Info et le Journal de la santé sur France5.
L'écho qui leur a été donné, à notre grande surprise vu leur absence de sérieux, fut si grand, et l'objectivité scientifique tellement absente du propos, que je suis obligé d'y répondre de façon systématique.
Je commencerai par les arguments les plus ahurissants.
1/ Un kit DT-Polio gratuit mais réservé à des cas très rares
Le premier argument le plus utilisé pour discréditer notre initiative est que les laboratoires mettraient un kit DT-Polio gratuitement à disposition des personnes qui souhaitent éviter l'Infanrix Hexa. Cela écarterait donc toute possibilité que les laboratoires aient un intérêt quelconque à l'actuelle pénurie. Mieux, cela démontrerait que ces entreprises sont engagées dans une démarche purement désintéressée et philanthropique.
C'est une invention. Ce kit gratuit existe. Mais il est réservé aux rares cas de nourrissons présentant une contre-indication au vaccin anticoquelucheux, présent dans l'Infanrix Hexa, ainsi que l'indique le communiqué de Sanofi-Pasteur MSD indiqué en note [2].
Les contre-indications au vaccin anticoquelucheux sont les antécédents d'allergie, rares chez les bébés nourris au sein, les réactions intenses à d'autres vaccins, impossibles chez les nourrissons n'ayant jamais été vaccinés, l'encéphalopathie évolutive, la fièvre (égale ou supérieur à 40°C), une affection chronique et les affections graves de l'appareil pulmonaire.
En outre, la première partie du kit gratuit, celle qui contient les valences diphtérie et tétanos, a été en rupture de stock depuis le 1er janvier 2015, rupture à laquelle il n'a été remédié qu'au mois de mai, ainsi que l'indique l'Agence du médicament sur son site Internet consultable ici [3].
Prétendre que ce vaccin gratuit ait été librement et largement accessible aux parents ayant une méfiance à l'égard de l'Infanrix Hexa est donc absolument faux.
2/ Oui le vaccin hexavalent peut être dangereux
Le second argument le plus repris contre notre initiative pour le retour du vaccin DT-Polio est que les autorités sanitaires affirment que le vaccin hexavalent est sûr, et qu'il n'y a donc aucun danger particulier à le recevoir. Au contraire, les familles et les patients devraient être reconnaissants, puisqu'ils seraient ainsi protégés contre six maladies d’un coup, en une seule piqûre. Et six précautions valent mieux que trois !
Là encore, il s'agit d'une vision simpliste et trompeuse du choix qui s'offre aux patients. Sait-on ce que recouvre, dans le domaine médical, la notion de « sûreté » d'un médicament ou d'un traitement ?
Toute intervention sur le corps humain, et a fortiori toute injection de corps étrangers, comporte un risque. En tant que médecin, c'est la première chose que nous apprenons. Notre serment d'Hippocrate commence par ces mots : « D'abord ne pas nuire » (« Primum non nocere »). Les vaccins sont des médicaments actifs comme les autres. Affirmer qu'ils sont sûrs signifie seulement que, globalement, les risques qu'ils font courir aux patients sont inférieurs aux bienfaits qu'ils peuvent en attendre. Cela ne signifie absolument pas qu'il n'y ait aucun risque.
Les autorités, et c'est leur rôle, se bornent à estimer que, collectivement, la balance bénéfice/risque est en faveur de la vaccination.
Mais on ne peut en déduire qu'en toutes circonstances il soit sûr, d'un point de vue individuel, de se faire vacciner. Chez un individu donné qui n'est pas exposé à une infection et chez qui la vaccination présente un risque, la gestion individuelle du risque doit recommander de ne pas vacciner. C'est pourquoi il peut être logique de vacciner tout le personnel soignant contre l'hépatite B, une maladie qui se transmet par le sang et les fluides corporels – et je le suis moi-même bien sûr, en tant que chirurgien.
En revanche, pour un bébé de deux mois, qui ne pratique pas d'interventions médicales, qui n'est pas toxicomane et qui n'a pas de rapports sexuels ni de contact étroit avec des malades potentiels de l'hépatite B, il n'est pas du tout sûr que les bénéfices de la protection contre une maladie très peu probable justifie de courir les risques du vaccin.
Discuter le risque d’un vaccin, ce n’est pas être anti-vaccin, c’est dire la vérité
Affirmer qu'un vaccin est risqué, informer les patients que tout vaccin comporte un risque, ce n'est pas être « antivaccin ». C'est dire la vérité, et les familles et patients ont droit de savoir la vérité sur les médicaments qu'on leur administre.
Vouloir la leur cacher, même partiellement, au nom d'objectifs généraux de santé publique, comme la maximisation de la couverture vaccinale, n'est pas respectueux des Droits de l'Homme, et c'est pourquoi nous nous y opposons.
3/ Les vaccins multivalent sont plus dangereux que les autres
Vient le troisième argument, selon lequel les vaccins multivalents, c'est-à-dire qui vaccinent contre plusieurs maladies en une seule injection, ne posent pas plus de problèmes que les autres.
En réalité, le principe de la vaccination consiste à solliciter le système immunitaire avec un agent infectieux affaibli pour provoquer une réponse, afin d'accélérer cette réponse la prochaine fois qu'il sera confronté avec cet agent infectieux. Notre système immunitaire est configuré pour faire face à plusieurs infections mineures, et une ou deux attaques majeures.
Le vaccin hexavalent consiste à demander à l’organisme d’un bébé de 2 mois de faire face à 6 infections majeures simultanées, et donc chez un nourrisson dont le système immunitaire est encore immature (il dépend fortement de celui de la mère, via l'allaitement qui reste idéal pour l’enfant).
Le système immunitaire est une mécanique très délicate. Son emballement est au moins aussi dangereux que son insuffisance. La surréaction du système immunitaire peut produire une « tempête de cytokines » créant des maladies auto-immunes graves.
Que sait-on de la réponse immune lorsqu'il y a 6 valences d'antigènes dans un vaccin ? Pas grand chose à long terme, tout simplement parce que cette pratique de multiplier les valences n'est pas assez ancienne pour que l'on ait aujourd'hui le recul suffisant. Et dans la mesure où l’on ne prend pas en compte le groupe HLA des personnes avant de les vacciner, il est impossible de prédire les risques sanitaires à long terme.
De la même façon, il a été dit et répété dans les attaques contre notre pétition que les adjuvants présents dans le vaccin hexavalent ne sont pas dangereux. Pourtant, pour mémoire, les adjuvants servent à créer une réponse inflammatoire, afin de mieux « marquer » le système immunitaire. Ils fonctionnent forcément en agressant le corps, sans quoi celui-ci ne chercherait pas à se défendre. Ce sont par définition des produits agressifs.
On nous dit, pour nous tranquilliser, que les adjuvants à base de mercure et d'aluminium, des neurotoxiques, ou de formaldéhyde, un cancérogène certain, ne sont pas dangereux parce que les doses sont trop faibles, jusqu'à 10 000 fois inférieures à la dose létale pour l'adulte.
Des poisons injectés, non pas à des adultes, mais à des nourrissons, directement dans le sang
Mais il faut considérer le fait que les adjuvants sont administrés non à des adultes mais à des nourrissons. Qu'ils ne passent pas par le système digestif, et donc pas par le filtre du foie, mais qu'ils sont injectés directement dans le sang. Que ce que l'on redoute n'est pas l'empoisonnement immédiat du bébé, mais les conséquences à long terme, la myofasciite à macrophages ou, nettement plus tard, telle ou telle maladie neurodégénérative, telle la sclérose en plaque (SEC), comme cela a été prouvé après la campagne de vaccination contre l’hépatite B au collège à la fin des années 90.
Pour toutes ces raisons, nous réfutons toute accusation d'approximation, de « dérapage verbal », et plus encore de « complotisme » et de « charlatanisme ». Notre appel à pétition est justifié, pour ne pas dire urgent, par un impératif de santé publique. L'opposition bête et méchante, parfois même de mauvaise foi, que nous rencontrons nous conforte dans l'impression que, si nous ne bougions pas, personne ne le ferait.
Continuons notre mobilisation
C'est chose faite aujourd'hui. Le débat est enfin lancé. Puissent les autorités de santé entendre la voix des 500 000 citoyens et professionnels de santé qui ont déjà signé notre pétition, et de tous ceux qui se joindront à eux prochainement.
Et n’hésitez pas à diffuser largement autour de vous cet argumentaire qui répond à des attaques infondées, et à poursuivre la campagne de signature de la pétition (ici).
Professeur Henri Joyeux
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