Notre Prophète صلى الله عليه وسلم a enseigné à Ses Compagnons رضي الله عنهم cette chose grandiose. 

Ils pretaient attention même sur des choses qui paraissent insignifiantes aux yeux des gens.

A rapporté al Boukhârî dans adab al moufrad et dans son recueil authentique, 'Urwa رضي الله عنه a dit:

"Abu Hurayra vit deux hommes.

Il a dit à l'un deux : Qui est-il par rapport à toi?

La personne répondit : Mon père.

Alors, il lui a dit : ne marche pas devant lui et ne t'assois pas avant lui et ne l'appelle par son nom"

(boukhari dans adab al moufrad) - Hadith authentifié par Al Albani

Ne marche pas devant ton père, c'est une honte !

Crains Allah en toi-même, cela ne fais pas partie de la piété.

Il a dit : "ne marche pas devant lui, ne l'appelle par son nom, ne t'assois pas avant lui", plutôt :

  tu t'asseois après lui,

  et marche derrière-lui,

  et ne l'appelles pas par son nom.

Si ce n'est que tu l'appelles par sa kounia, comme l'a dit ibn 'Umar, à son père 'Umar  رضي الله عنهم 'Umar et son fils, il lui a dit "abou Hafs" رضي الله عنه. 

Dans ces genres de choses, la vie est bien aménagée, certes la vie a en elle des choses corrompus, et celui qui agit avec corruption a corrompu sa vie, en négligeant les droits.

Les gens sont attentifs à ce que leurs droits soient respectés et font preuve de négligences envers les obligations qu'Allah leur a ordonné.

Les gens sont attentifs en ce qui concerne leurs droits et font preuve de négligences envers leurs obligations, qu'ils craignent Allah, car Allah Le Très-Haut a ordonné des obligations, et a prescrit des peines.

Il est alors du devoir de la personne de prendre des précautions et ne pas transgresser, car s'il transgresse l'opprimé peut invoquer contre lui, et si cela lui est accepté, qu'il ne s'en prenne alors qu'à sa personne... 

D’après Thawbân (radiya Allahou ‘anh) le Messager d'Allah (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) a dit :

وَإِنَّ الرَّجُلَ لَيُحْرَمُ الرِّزْقَ بِالذَّنْبِ يُصِيبُهُ

« Certes, un homme peut être privé de la subsistance à cause d'un péché qu'il a commis. ».[1]

Source :

Rapporté par Ibn Madjâ n° 4022.

Rapporté par Ahmad n° 280, 282 (5/277).

Rapporté par an-Nassâ’î dans « Sounnan al-Koubra ».

Rapporté par Wâkî‘ Ibn al-Jarrâh dans « al-Zouhd » n°400.

Rapporté par at-Tabarânî dans « al-Mou‘jam al-Kabîr » n° 1442.

Rapporté par al-Hâkim n° 6038 (3/458).

Rapporté par Ibn Abî Chaybâ dans « al-Mousanaf » (10/441).

Rapporté par Ibn Hibbân dans son « Sahîh » n° 872 (3/153).Rapporté par al-Hafiz al-Mizzî dans « al-Touhfa ».

Rapporté par Aboû Ya‘lâ n° 277.

Rapporté par at-Tahâwî dans « Mouchkil al-Athar » (4/169).

Rapporté par al-Bayhaqî  dans « Chou‘âb al-Imân » n° 10233.

Rapporté par Hannâd Ibn as-Sarî dans « al-Zouhd » n° 1009.

Rapporté par ar-Rouwayânî dans son « Mousnad » n° 626 (1/408).

Rapporté par al-Qadâ‘î n° 1001 (2/115).

Rapporté par Aboû Bakr ad-Dînawrî al-Mâlakî dans « al-Majâlasa wa Jawâhir al-‘Ilm » n° 1892 (5/84).

Rapporté par al-Albânî dans « Sahîh Ibn Madjâ » qui le juge authentique.

On prononce la formule de demande de pardon trois fois :

)اسْتَغْفِرُ الله(

« Je demande pardon à Allah. » Puis, on dit :

)اللَّهُمَّ أَنْتَ السَّلامُ وَمِنْكَ السَّلامُ تَبَارَكْتَ يَا ذَا الجَلالِ وَالإِكْرَامِ لاَ إِلَهَ إِلاَّ اللهُ وَحْدَهُ لاَ شَرِيكَ لَهُ. لَهُ المُلْكُ وَلَهُ الحَمْدُ وَهُوَ عَلَى كُلِّ شَيءٍ قَدِير. اللَّهُمَّ لاَ مَانِعَ لِمَا أَعْطَيتَ وَلاَ مُعْطِيَ لِمَا مَنَعْتَ وَلاَ يَنْفَعُ ذَا الجَدِّ مِنْكَ الجَدّ. لاَ حَولَ وَلاَ قُوَّةَ إِلاَّ بِاللهِ لاَ إِلَهَ إِلاَّ اللهُ وَلاَ نَعْبُدُ إِلاَ إِيَاَّهُ. لَهُ النِّعْمَةُ وَلَهُ الفَضْلُ ولَهُ الثَّنَاءُ الحَسَنُ لاَ إِلَهَ إِلاَّ اللهُ مخْلِصِينَ لَهُ الدِّين وَلَو كَرِهَ الكَافِرُون(